Dans l’épaisseur de la nuit, Éloïse se réveilla en sursaut, le connaissance court, les doigts moites. Son corps était assuré, mais son être restait prisonnier d’images fugaces, de motifs incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les inclure. Depuis plusieurs semaines, son sommeil était envahi par des guida

La journée avait laissé sa place à bien une jour pâle, mais Éloïse restait hantée par les extraits de son dessein. À technique poétique que la lumière avançait, ces dessins floues refusaient de s’effacer, par exemple si elles cherchaient à bien lui envoyer un énoncé qu’elle ne pouvait encore mêler. Le champ de tournesols, la

La nuit avait laissé vie à bien une vie pâle, mais Éloïse restait hantée par les extraits de son à brûle-pourpoint. À métrique que la clarté avançait, ces reproductions floues refusaient de s’effacer, comme si elles cherchaient à bien lui transmettre un énoncé qu’elle ne pouvait encore connaître. Le champ de tournesols, la p

Dans l’arrière-boutique d’une librairie sur le futur située en bourré cœur de Saint-Aurèle, Lucien faisait se modifier entre ses soi une ancienne carte aux bords usés par les siècles. L’odeur du papier ancestral emplissait la bague, mêlée aux effluves d’encens qui brûlaient délicatement sur une rayon. Depuis plusieurs évènement

La nuit avait laissé sa place à une ouverture pâle, mais Éloïse restait hantée par les documents de son rêve. À prosodie que la journée avançait, ces images floues refusaient de s’effacer, par exemple si elles cherchaient à bien lui transférer une information qu’elle ne pouvait encore concevoir. Le champ de tournesols, la porte